Déneigement :
Avec l’entreprise de déneigement, son équipe et le service technique communal, la mairie s’efforce d’assurer le déneigement dans les meilleurs conditions ; dégagement des voies communales et passages piétonniers principaux, accessibilité aux bâtiments publics. Une veille est assurée et permet d’intervenir très tôt. Nous vous rappelons qu’il y a plus de 20 Km de routes communales à déneiger, qu’un chasse neige peut avoir une avarie technique, que les chutes de neige en continu favorisent le recouvrement rapide des voies déneigées précédemment, que les températures peuvent baisser brutalement et favoriser la formation de verglas sur les routes…
Il est donc impossible d’intervenir partout en même temps.
Compte tenu de ces délais, les engins ne peuvent interrompre la formation de bourrelets devant les entrées particulières. Il appartient aux riverains de rétablir eux-mêmes le passage. Le salage s’avère quelquefois indispensable dans certains secteurs définis par la mairie et à certains moments, toutefois avec parcimonie dans le respect de l’environnement. Les véhicules doivent être équipés à temps pour circuler sur des routes enneigées ou verglacées, comme le rappellent les panneaux installés au départ de certaines voies communales menant aux hameaux. Le stationnement le long des routes communales doit être absolument évité pour ne pas gêner et retarder le déneigement. Le déneigement des voies privées et chemins ruraux incombe aux riverains.
En hiver à Dingy-Saint-Clair, comme dans toute la Haute-Savoie, rouler sur la neige n’a rien d’anormal, malgré les moyens mobilisés par le service hivernal.
[/lsvr_content_box]Elagage
Les bases légales de l’intervention du Maire en matière d’élagage des arbres:
Le maire peut légalement prévoir, dans le cadre des pouvoirs de police qu’il détient au termes de l’article L.2212-2 du code général des collectivités territoriales, d’imposer aux riverains des voies relevant de sa compétence de procéder à l’élagage ou à l’abattage des arbres de leur propriété menaçant de tomber sur lesdites voies (CE, 23 octobre 1998, Prébot), ou mettant plus largement en cause la sécurité sur les voies publiques communales. Il devra motiver sa demande d’élagage ou d’abattage sur les fondements de la sécurité publique et le fait que cette situation « porte atteinte à la commodité du passage ».
De ce fait, nous vous rappelons que tout riverain d’une voie communale est assujetti à l’obligation d’élagage de toute branche à l’aplomb de la voie, et qu’aucun fût n’est toléré à moins de 2 mètres de la limite du domaine public.
Enfin, aucun arbre situé entre 2 et 10 mètres de la voie communale, ne devrait dépasser 7 à 10 mètres de haut.